quelques chtits poèmes

Tout ce que souhaite ton coeur,
C'est que tu connaisses le bonheur.
Alors il faut l'aider à trouver,
Car ne pas oser,
N'arrangera rien,
Il faut que tu lui tende la main.
J'espere pour toi que tu y arriveras
En tous les cas,
Sache que je suis là pour toi.

Pour toi,
Mon père est un dégénéré
qui devrait se faire soigner.
Pour moi,
C'est un père unique au monde
Qui sait me faire rire,
M'aide à m'épanouir,
Et réagit dans la seconde,
Lorsque quelque chose ne va pas.

Il est toujours là pour moi;
Alors tu pourras
Me dire ce que tu voudras,
A mes yeux il restera,
Le plus merveilleux des papa.

Je n'étais qu'un enfant,
Je n'avais que 4 ans.
Comment croyais-tu que je réagirais,
Lorsque je m'apercevrais
De la façon dont tu m'as lâchement
montée contre mes parents.
Aujourd'hui j'ai grandi,
Et j'ai compris
Quel genre de personne tu es vraiment:
Une femme qui ne sais réagir que méchament.
Jamais plus tu ne me reverras,
Car j'ai à présent franchi le pas.

Pour toi,
Être Arabe est un crime;
Pour moi,
Ce n'est que la cime
D'une religion
Et non d'une rebellion.

De quel droit
Me dis-tu ça?
Pourquoi
Me fais-tu subir cela?
Si à chaque fois que je te vois
J'ai envie de mourir,
c'est pour ne plus souffrir.

Quand je parlais avec toi,
Je m'imaginais dans tes bras;
Tandis que je rêvais,
Toi, tu me rassurais.
Envahie d'un sentiment de remors,
Je me dis que la vérité valais mieux que la mort.
C'est ainsi que des personnes me raisonnairent
Et me donnèrent les moyens de le faire,
Même si ce n'était pas dans leurs obligations.
Je me suis, orientée dans cette direction,
Et là j'ai redécouvert
Ce qu'était la réalité,
Et les biens-faits de la vérité,
Lorsque mon coeur t'es ouvert.

Lorsque je ne te vois pas,
Mon coeur se déchire;
Quand tu n'es pas là,
Il m'es impossible de sourir;
Car sans toi,
Je ne peux que mourir.

On croit connaître une personne,
Mais ça n'ai pas vraiment le cas.
Jamias on ne nous raisonne
Pour nous rappeler cela.
Mais il faut se souvenir
Que derrière l'apparence la plus innocente
Peut se cacher une personne des plus insouciente
Qui pourrait influencer notre avenir
Sans même se douter
De quelques éléments passés.

Le hasard fait que l'on rencontre une personne
Dont le nom,
Dans la tête nous résonne
Sans forcément de raison.
Comment se fait-il
Que tu te sois trouvé là,
Alors que j'étais sur cette île
Eloignée de tous pas.
Tu m'a pris par la main,
Tout en me rassurant,
Tu m'as dis "viens";
Et je me suis laissée portée par le courant.
Un jour peut-être tu saura
Pourquoi j'ai fais cela
Et j'espère que tu comprendra,
Que tu ne m'en voudras pas.

En sombrant dans l'alcool,
Tu l'as emporté au font,
Son seul refuge étant l'école,
Il n'osait t'affronter de front.
Il avait honte de toi,
Mais n'osait te le dire de vive voix;
Et c'est lorsqu'une amie arriva,
Qu'il en eu marre et lui avoua,
Ton problème;
Sa peau devint blême.
Maintenant,
Il est fort
Et résistant,
Mais se dit que du renfort
Ne lui ferait
Pas de mal;
Il est aujourd'hui sans regrets,
Et cela sans mal.